I AM
14.10 > 04.12.2021
"Je suis le tableau que je regarde
(Des peintures qui sont des actes à part entière)
Mes derniers tableaux s'inscrivent dans ce que je nommerais des points de vue, des interrogations auxquelles je tente de donner une réponse formelle.
Être en osmose sur différents questionnements philosophiques par l'intermédiaire d'un langage de forme et de l’énergie qui s’en dégage, de symboles, de couleurs parfois violentes, c'est ainsi que je synthétise mes préoccupations des soixante dernières années: me soustraire d'une définition précise pour expliquer l'inexplicable.
Mes titres sont le point final de l'œuvre.
Le tableau lui même prend la parole et développe une puissance qui devrait emporter l'esprit de celui qui regarde."
Jean Zuber
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Back to Paris
20.05 > 10.07.2021
Retour imaginaire dans le Paris de la fête, des divertissements, des concerts et des lumières.
" Dans mes carnets de croquis, que j’ai feuilletés à loisir pendant les confinements imposés par le gouvernement, j’ai redécouvert avec un peu de nostalgie quelques-uns de mes dessins réalisés avant cette période étrange, quand Paris était "Une fête".
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Presence du jaune
Exposition collective
18.02 > 10.05.2021
"Un soleil, une lumière que faute de mieux je ne puis appeler que jaune, jaune soufre pâle, citron pâle or. Que c'est beau le jaune!"
Vincent Van Gogh, Lettre à son frère Théo.
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Le crépuscule est grandiose
03.10 > 23.01.2021
L'artiste est pressé. Sa pensée est contemporaine de l'acte. Il ne retient que ce qu'il regarde, et ne regarde que ce qui peut lui servir. L'impression se rend en expression.
On arrête le flot d'images. Screenshot. On suspend le cours de la nuit, le flux de Google, de l'absurde, de l'obscène, les souvenirs d'amour et de meurtre, pour les jeter aux regards des autres. Peindre c'est mettre hors de soi et faire don.
On laisse aller les coulures, les couleurs et toutes les techniques de marquages. La couleur devient l’élément ordonnateur. Une couleur qui n'est ni au service de la lumière ni de la séduction. Peindre est cette pornographie des rapprochements et des écoulements. On fait entrer la trivialité du quotidien, la vieille histoire de la représentation de l'horreur, la réalité nue, le coup de flash.
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