Exposition collective

PAYSAGES

13.10 > 19.11.2022

Pour sa rentrée artistique, la galerie Pascal Gabert vous propose un voyage contemplatif sur le thème du paysage avec 17 artistes plasticiens. L’exposition explore le sentiment de la nature, le rapport poétique au monde, la tension entre le dedans, le dehors, le visible, l’invisible, le passé et le présent.

Sont réunies dans cette exposition, les œuvres d’Arezki Aoun, Al Martin, Pat Andrea, Daniel Authouart, Patrick Bailly-Maître-Grand, Marie-Jeanne Caprasse, Jean Clerté, Alexis Gallissaires, Gilles Ghez, Karine Hoffman, Olivier Le Bars, Marc Le Mené, Stephanie-Lucie Mathern, Simon Pasieka, Irina Quinterne, Gérard Thalmann, Val.

L’exposition présentera une déambulation à travers une trentaine de tableaux, dessins, photographies et sculptures. Un parcours riche et singulier, une ballade onirique et sensible entre représentation et imaginaire à laquelle la galerie vous invite.

Communiqué de presse

Gilles Ghez

Voyages Imaginaires

02.06 > 09.07.2022

Gilles GHEZ s’est longtemps satisfait de la surface plane des

tableaux, jusqu’à ce que les personnages et les paysages s’imposent à lui, en sortant du fond de ses oeuvres. Il a transposé et réinventé la peinture dans un espace qui lui était interdit, celui d’une tierce dimension afin créer un tableau vivant.

Chaque œuvre est le fragment d’un rêve. Le rêve est le fragment d’un récit. Chaque récit appartient au grand roman-feuilleton que Gilles Ghez a pensé et exécuté dans ses propres termes, avec une pointe aiguë d’humour et une haute dose d’ironie, tout au long de sa vie de créateur.

Valérie Goutard (Val)

Inéquilibre

17.03 > 23.04.2022

Le terme « Inéquilibre » fut donné par Val à l’une de ses sculptures, inspirée par la beauté ressentie devant la décadence des temples d’Angkor où elle voyait apparaitre dans le chaos de ces ruines, un équilibre naturel. Si Pascal Gabert l’a choisi comme titre de l’exposition, c’est parce que ce mot contient en lui l’essentiel des recherches de rythme et d’harmonie de l’artiste, la justesse dans la composition de ses structures à l’intérieur desquelles les personnages s’inscrivent et se meuvent, en équilibre fragile - parfait reflet de sa vision du monde. Comme elle l’avait écrit : « Je représente l’homme, immortel, qui se succède, génération après génération. Cet homme ou cette femme, je parle de l’humain, c’est quiconque en quête de sens, de beau, qui s’interroge. Je représente la nature, les vibrations qu’elle éveille en moi, le caractère indissociable de l’homme et de la nature et par mes vides j’invite la nature à avoir une part active dans la multiplicité des interprétations possibles. »

Communiqué de presse

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