Jean Zuber
La vie, en somme...
Galerie Capazza, Nançay-en-Sologne
21.07 > 23.09.2018
Force est de peindre
Il y a deux Jean Zuber, et certainement beaucoup plus tant un seul corps peut facilement
contenir une multitude.
D’une part le peintre classique, constructeur de tableaux structurés, de l’autre celui d’avant tout classicisme : le primitif, revivant l’invention des premiers signes, des premières couleurs, un humain dans l’étonnement de ses sensations.
Ces deux- là, et les autres, auront bien sûr toujours tenté de concilier leur tension et
d’apparaître dans chaque tableau, sans qu’aucun ne doive concéder trop de pouvoir à
l’autre.
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Jean Clerté
À double titres
Le Garage, Ramatuelle
12.07 > 23.07.2017
Face à face entre les œuvres du peintre Jean Clerté au sein desquelles le bestiaire onirique tient une place prépondérante, et la sculpture animalière africaine ou le sacré se mêle au profane….
"Depuis la fin du 19° siècle les "arts nègres" découverts par les artistes européens ont eu une influence majeure sur l'art occidental. Il m'a semblé qu'il était naturel de demander à mon ami Alain Dufour qui est un expert important de ce qu'on appelle les "arts premiers" s'il voulait bien se joindre à moi pour présenter quelques-unes des œuvres qu'il expose dans sa galerie afin d'accompagner mes toiles."
Jean Clerté
Al Martin
Le divan des murmures
FRAC Auvergne, Clermont-Ferrand
07.10.2017 > 07.01.2018
La grande question qui parcourt la constitution de toute collection publique est d’être en capacité de réunir des oeuvres autour de problématiques fortes afin de structurer un propos cohérent et de pouvoir imaginer qu’elles puissent dialoguer par ensembles, s’invectiver, se répondre. Ainsi, en 2016, l’exposition À quoi tient la beauté des étreintes proposait une lecture de la collection du FRAC Auvergne fondée sur les accolades affectives, les familiarités entre artistes, avec des oeuvres concernées par des réflexions communes, des rapprochements inattendus, voire improbables.
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Gerard Thalmann
Traversées
Villa Tamaris Centre d'art - La Seyne-sur-Mer
01.07 > 17.09.2017
La Galerie Pascal Gabert est heureuse de vous annoncer la première grande exposition de Gérard Thalmann depuis sa disparition en 2012, qui se tiendra à la Villa Tamaris du 1er juillet au 17 septembre 2017.
Cette exposition présentera les principales périodes de son travail, à travers quelque 120 œuvres, peintures, dessins, jets d’encre. Seront présentés également un ensemble de docu-ments, tels que éditions, vidéos, photographies et textes, qui témoignent de la volonté de Gérard Thalmann : rendre compte de son expérience du monde, la rendre visible, lui donner du sens.
On retrouve toute la dimension poétique dans les tableaux de Gérard Thalmann, qui d’ailleurs a souvent été accompagné par son complice Li Po, poète et calligraphe chinois du 8e siècle avec qui il partageait le même intérêt pour les voyages, la lune, l’alcool et les femmes.
La fenêtre chez Gérard Thalmann est le lieu du passage de l’intérieur vers l’extérieur, du chaud vers le froid, du jour vers la nuit. Elle amène la notion de déambulation et de traver-sée, particulièrement évidente dans ses Nuits traversées.
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